Sentier d’été – Exposition collective

10 au 13 juin 2021

372 rue Sainte-Catherine Ouest, Montréal – Édifice Belgo, espace 416

Jeudi et vendredi : midi à 19 h
Samedi : midi à 17 h
Dimanche : midi à 16 h

 

Québec, le 10 juin 2021 – Dans le cadre du Galeries Weekend Montréal organisé par l’AGAC, Galerie.a est heureuse de présenter une sélection d’œuvres célébrant le travail de neuf artistes de la galerie. L’exposition collective Sentier d’été est présentée du 10 au 13 juin 2021 à Montréal dans l’édifice du Belgo au 372, rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416.

Inspirée de la production récente d’Émilie Bernard, cette exposition met à l’honneur une sélection d’œuvres scrutant nos mémoires d’été et la nature du Québec. Un voyage en camping, un road trip à Baie-Saint-Paul, une luciole, une collection de branches et de feuilles… Sans être explicites, les œuvres, à leur façon, nous plongent dans nos souvenirs et parlent d’une nature vécue, expérimentée et habitée par l’homme. Un lieu commun partagé et aimé, surtout l’été, peut-être encore plus pendant les vacances, Sentier d’été nous invite à revivre une nature douce, familière et réconfortante.

Découvrez-y les oeuvres des artistes :
Émilie Bernard, Ève Cadieux, Luca Fortin, Florence Leblanc, Antoine Lortie, Julie Picard, Justine Skahan, Carlos Ste-Marie et Nathalie Thibault.

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Émilie Bernard, Mauvaises herbes 1, crayon graphite sur papier aquarelle, 58 x 50 cm, 2018.

Émilie Bernard

Depuis quelques années, fascinée par les forêts, les parcs et les territoires, la pratique d’Émilie se déploie par le dessin d’éléments de la nature. Toujours dérivée de ses observations, la production de l’artiste nous plonge dans son univers contemplatif et l’environnement qui l’entoure.

Ève Cadieux
Ève Cadieux nous revient avec des vues de marchés aux puces, explorant toujours une fascination pour les objets glanés au fil du temps, pour les lieux porteurs de mémoire, pour l’obsolescence inévitable des choses et pour les références à l’histoire de l’art. Passant par plusieurs villes d’Europe, l’artiste cadre depuis quelques années les objets accumulés et, après l’acte de la prise de vue, l’empreinte lumineuse redonne vie à ces espaces de commerces éphémères, où les ramassis et collections racontent malgré eux des histoires intimes et collectives.

Luca Fortin
Oscillant entre l’art et l’architecture, Luca s’intéresse à la pérennité des matériaux et à la poésie de leur vieillissement dans le temps. Ses recherches picturales examinent les dualités entre la matière et son altérabilité. Les gestes répétés et superposés lui permettent de composer des œuvres abstraites à la surface éthérée, vaporeuse et indéfinie.

Florence Leblanc
La série Souvenirs-stations présente des bâtiments que différents traits – que ce soit l’abandon, la vocation touristique ou récréative – tendent à isoler du réel pour les faire ressembler à des « choses ». Leur inscription en une même série révèle l’histoire d’un road trip. La photographie établit une sorte de collection qui préserve ces bâtiments en différentes catégories : totems, effigies, bibelots, jouets, fossiles ou coquillages. Des « concentrés » de lieux, d’individus, d’époques. Une fois photographiés, quittés, chosifiés, les lieux se présentent tels des objets, des miniatures que l’on peut contenir après qu’ils nous ont contenus.

Antoine Lortie
Les tableaux d’Antoine Lortie sont une accumulation, une surcharge de motifs et de sens. À l’image de notre monde cosmopolite moderne qui se complexifie, l’univers pictural de l’artiste se lit en multicouche. Il faut décortiquer l’image et en isoler tous les éléments individuellement pour y trouver des groupes d’idées qui dépeignent une quête de sens et d’identité, thème qui raisonne parfaitement avec notre société contemporaine à mi-chemin entre histoire, présent et progrès.

Julie Picard
Matière de prédilection depuis près de vingt ans, le papier est porteur de fragilité et d’éphémère. La démarche de Picard englobe la récupération et des modes de présentation sous forme d’interventions éphémères, nomades, flexibles et déployables. En atelier, au moyen de bricolages et de confections faits main, elle élabore des constructions. Elle cherche à faire et à refaire le monde, à partir de nos rebuts du quotidien que sont journaux, magazines, dépliants, circulaires.

Justine Skahan
Justine Skahan s’intéresse aux éléments visuels qui s’assemblent et se décomposent en peinture. Sa démarche artistique s’intéresse à la question suivante : comment construisons-nous, décorons-nous et entretenons-nous nos maisons ? Pour l’artiste, la maison devient la métaphore de nos émotions et de notre intimité. En relation avec la figure de la maison, elle explore les paysages de banlieue, nos lieux de vie, les espaces intermédiaires où le privé rencontre le public et le naturel rencontre la construction humaine.

Carlos Ste-Marie
Ses tableaux sont des réflexions sur l’abri, la fragilisation des habitats et des espèces vivantes vues comme des « réfugiées ». La représentation des aliénations entre les êtres vivants et leurs milieux, à l’œuvre dans sa peinture, illustre comment l’abri devient parfois une prison, une contention de la vie même. Tout en révélant les inquiétudes environnementales, les tableaux créent ce dialogue nécessaire entre les humains et les bêtes.

Nathalie Thibault
L’exploration picturale de Nathalie est ancrée dans la recherche d’une corrélation entre le geste et la matière à travers un processus où cohabitent l’intuition, la chance et la maîtrise. Dans sa peinture, une relation prend forme entre le geste, les techniques et leur support. Dans sa nouvelle série de dessins sur papiers noirs, Nathalie s’intéresse à la lumière de la couleur, aux relations entre les tracés de couleur et le noir qui l’englobe ainsi qu’à l’intensité de la clarté dégagée par la couleur selon sa saturation. Sur noir, les couleurs apparaissent magnifiées.

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Collectionner – Découvrez les artistes de Galerie.a sur la nouvelle application de l’AGAC

Le 20 mai 2020, l’Association des galeries d’art contemporain (AGAC) dévoilait sa nouvelle application de réalité augmentée. Pour le moment, Collectionner — l’application regroupe près de 1 000 œuvres d’art contemporain disponibles à la vente et présentées par plus de 40 galeries canadiennes.

Galerie.a y présente un échantillon du travail de ses neuf artistes représentés.

Nous vous encourageons à télécharger sur votre mobile ce nouvel outil pour découvrir artistes et œuvres.

Téléchargez l’application sur iOS.

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Contact

Anne D’Amours Mc Donald
Fondatrice, Galerie.a
418 925-9804
anne@galeriea.ca
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Galerie.a en bref

Galerie.a, fondée en avril 2018 par Anne D’Amours Mc Donald, est une galerie d’art basée à Québec et spécialisée dans la promotion d’artistes en art actuel. Par la réalisation d’évènements, de projets spéciaux, de foires et d’expositions au Québec et à l’étranger, la galerie vise à faire rayonner les artistes québécois.